Une délégation de l’Association des Journalistes Économiques et Financiers de Côte d’Ivoire (AJEFCI), conduite par son Président Stéphane SOUMAHORO, a été reçu le jeudi 15 avril 2021 par l’Ambassadeur du Maroc en Côte d’Ivoire, SEM Abdelmalek KETTANI, en vue d’avoir un appui pour intensifier ses actions.
Cette audience tenue au sein de l’Ambassade du Maroc en Côte d’Ivoire, sis à Cocody (Abidjan-Côte d’Ivoire), a été faite en présence de membres de l’AJECI, composés du Secrétaire Général, Thomas EHOUMAN et du Trésorier, Michaël KOUAKOU.
En effet, la rencontre sollicitée par l’AJEFCI a été l’occasion pour le Président de l’AJEFCI, de notamment présenter l’Association et demander un appui de ladite Institution afin d’atteindre ses objectifs.
Pour SEM KETTANI, qui s’est réjoui de cette initiative de l’AJEFCI, il a promis appuyer l’Association dans l’atteinte des objectifs entre autres, la formation des journalistes, la mise en relation avec des Entreprises marocaines et journalistes économiques du Maroc. «Un média économique aussi professionnel peut-être créé à long terme, en vue de s’accentuer plus sur des questions plus étendues en matière d’économie », a-t-il déclaré. Faisant la proposition que l’AJEFCI établisse des partenariats avec la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), mais également des Entreprises marocaines, pour intensifier ses actions et pouvoir impulser une nouvelle dynamique au secteur de la presse économique ivoirienne, en favorisant un rapprochement.
Notons que fondée le 24 février 2021 à l’issue d’une Assemblée Générale constitutive qui a pour mandat une période de trois année ; l’AFEFCI est une volonté des Journalistes et professionnels de la Communication, sensibles aux questions économiques et financières de fédérer leurs énergies ; et mieux organiser la corporation. L’Association a pour objet de participer à la formation des journalistes, pour une meilleure approche des sujets économiques de plus en plus complexes ; de permettre aux populations d’avoir compréhension plus simple des sujets de développement, etc.
Nadège Koffi